On continue ! Nouveau RDV : jeudi 6 avril 2023 à 14h Place Carrière à NANCY On se retrouve en tête de cortège derrière le camion de la CGT 

Nouvelle mobilisation mardi 28 mars 2023 RDV Place Carrière à NANCY, à partir de 14h Même si MACRON le veut pas, nous on sera là !!!

Mobilisation contre la réforme des retraites jeudi 23 mars. RDV à 14h place de la Carrière à NANCY Peu importe le 49-3, on n'en veut toujours pas de leur projet ! RETRAIT !!!!

Nouvelle mobilisation contre le projet de réforme des retraites ! Ils sont en train de tout casser et nous ne devons surtout pas les laisser faire ! RDV mercredi 15 mars 2023 à 14h Place Carnot à NANCY (préavis de grève national déposé)

Contre le projet de réforme des retraites, la CGT ne lâchera rien et décide de poursuivre et amplifier la mobilisation. Exigeons le retrait pur et simple ! 2 dates à retenir : - jeudi 26 janvier 2023 (manifestation aux flambeaux à 17h30 au départ de la place Dombasle à NANCY) - mardi 31 janvier 2023 (manifestation à 14h au départ de la place Carnot à NANCY) Plus d'infos sur nos pages Facebook et sur : http://www.sante.cgt.fr/Reforme-des-retraites-il-y-a-eu-le-19-il-y-a-le-31-janvier-on-exige-le-retrait

La 1ère Ministre, Elisabeth BORNE, vient de dévoiler le projet de réforme des retraites voulu par MACRON. Leur programme : 64 ans presque pour tous (59 pour les catégories actives), 43 années de cotisations et faire en sorte que la retraite soit l'antichambre de la mort ! Pour la CGT, il n'y a qu'une seule réforme entendable : 60 ans pour tous (55 pour les catégories actives et la pénibilité)

RDV jeudi 19 janvier 2023 à 14 Place de la République à NANCY

Jeudi 10 novembre 2022, nouvelle journée de mobilisation interprofessionnelle : Pour des augmentations de salaire et l'indexation de ceux-ci sur les prix ! Pour une retraite à taux plein 60 ans (à 55 ans pour les catégories actives et la pénibilité) ! Pour plus de moyens dans le budget de la Sécu et pour nos hôpitaux ! 

Rassemblement à partir de 13h30 Place Dombasle à NANCY

Un préavis de grève national est déposé.

Face à la politique proposée par ce gouvernement, la CGT défend un autre projet, plus cohérent pour que notre système de santé et d’action sociale puisse relever les enjeux qui sont posés. Nos principales revendications sont :

Le projet de loi de financement de la Sécu (et donc du budget des hôpitaux) pour 2023, tel qu’il est actuellement, va aggraver la situation des personnels et des usagers.   L’affaiblissement du service public programmé par ce gouvernement accentue tous les indicateurs qui démontrent que le danger pour la population et les salarié.e.s est grandissant. Ainsi, la réforme en profondeur voulue par Macron consiste en sa volonté d’accélérer le développement des investisseurs lucratifs dans nos activités qui représentent à leurs yeux un marché juteux. Ce développement ne sera pas non plus synonyme d’amélioration des conditions de travail des salarié.e.s du secteur privé, ni d’amélioration des prises en charge de la population. Au contraire, il va permettre à ces investisseurs de continuer à augmenter leurs profits à partir de fonds publics, de continuer à baisser encore et toujours davantage le coût du travail et augmenter le « reste à charge » pour les usagers.

Dans une vidéo Youtube, notre omni-président en col roulé (il faut montrer l’exemple et ne pas trop chauffer) déclare ouvert le Conseil National de la Refondation et son site dédié : 

www.conseil-refondation.fr

Sur ce point, la CGT ne peut que déplorer la méthode du gouvernement qui semble rejouer la même partition qu’après le mouvement des gilets jaunes : les consultations citoyennes et les grands débats ... avec le succès que l’on sait ! Le discours savamment travaillé par les agences de communication de l’Elysée, ça suffit ! On ne veut pas de « conseil national de la refondation », de « conférence des parties prenantes », de « fabrique du bien vieillir » ni encore de « conférence sur le handicap en 2023 » ou d’autres « assises » ... !!! Place aux actes !

Jeudi 6 octobre 2022, la CGT rejoint la mobilisation des personnels de crèche comme elle le fait depuis l’origine de la création du collectif « pas de bébé à la consigne »   La CGT a déposé un préavis de grève départementale et appelle les professionnels du secteur mais aussi les usagers à soutenir le mouvement et les revendications :

Dans la continuité de la journée de mobilisation du 22, rejoignez-nous jeudi 29 septembre 2022. RDV à 14h Place Dombasle à NANCY Pour l'augmentation des salaires, l'indexation du point d'indice sur l'inflation, pour la hausse de l'indemnité de nuit, ..., Pour l'embauche de personnels supplémentaires, Pour l'Hôpital Public, pour la réouverture de lits et le maintien de structures de proximité, Pour nos retraites et la reconnaissance de la pénibilité de nos métiers avec le droit à un départ anticipé, ... Un préavis de grève national a été déposé par la CGT Plus d'infos sur nos pages Facebook

Rendez-vous devant l'Agence Régionale de Santé (Bd Joffre à NANCY) Jeudi 22 septembre 2022 à 14 h

• Pour le service public hospitalier et l'accès aux soins de tous,

• Pour une psychiatrie publique dotée de moyens humains, de lits et de structures de proximité en nombre suffisant pour répondre aux enjeux,

• Pour des embauches supplémentaires, un vrai plan de formation et d'attractivité,

• Pour des grilles indiciaires revues à la hausse, l'indexation du point d'indice sur l'inflation, la revalorisation des indemnités de nuit,

• Pour un management plus bienveillant et enfin à l'écoute des professionnels de terrain,

• Pour une psychiatrie rassemblée autour de valeurs humanistes et pour redonner du sens au travail et aux prises en charge !

3,5 % d’augmentation du point d’indice pour le 1er juillet 2022 ... alors qu’il faudrait : 

• +7% pour compenser l’inflation prévue par l’INSEE sur 2022
• + 17,4% pour rattraper le gel du point d’indice depuis 2017 
• + 44% pour rattraper le décrochage subi depuis les années 80 !!!

Cette augmentation interviendra au plus tôt sur les fiches de paie du mois d'août avec effet rétroactif au 1er juillet 2022.

Et nous voilà repartis comme avant les belles promesses (post- crise sanitaire) de MACRON et de VERAN ! L’été est là mais tout le monde ne va malheureusement pas pouvoir en profiter comme il le devrait. L’hôpital public, grande cause nationale, devait être sauvé, foi de président de la République ! Le Ségur de la Santé et diverses mesures d’investissement « historiques » devaient suffire à endiguer la dégringolade dans le gouffre où nous avaient précipités les politiques d’austérité précédemment menées ! Nous voici donc en juillet 2022 et il n’y a jamais eu autant de fermetures de lits, de fermetures de services d’urgence et de maternités de proximité, autant de démissions de personnels et de postes vacants dans les hostos de notre beau pays !!! 

Le gouvernement vient d'annoncer une augmentation de 3,5% du point d'indice au 1er juillet 2022 alors que l'inflation sur un an est de 5,2% Scandaleux et largement insuffisant. La CGT continue de revendiquer une augmentation immédiate de 10% et un rattrapage des années gelées ainsi qu'une indexation des traitements et pensions sur l'inflation !

Malgré les promesses d’embauches du Ségur et la com’ du gouvernement pour vanter l’excellence de son accord, l’attractivité mais surtout la fidélisation envers les métiers de l’Hôpital restent encore un enjeu crucial. Alors, pendant que certains se congratulent sur les bons chiffres des inscriptions sur Parcoursup ou de l’augmentation du nombre d’étudiants dans les promotions d’IFSI, les difficultés sur le terrain demeurent. Le gouvernement et les Directions d’établissement ont beau jeu de mettre en avant cette période délicate de 2 à 3 ans d’attente avant que les futurs diplômés n’arrivent en force sur le marché de l’emploi. Ils demandent aux personnels en poste de serrer les rangs et de consentir (encore) à quelques efforts

On marche sur la tête dans ce pays ! Après 2 ans de pandémie qui ont révélé les failles et les faiblesses de notre système de santé affaibli par les réformes libérales menées ces dernières années, certains attendaient un sursaut. Alors certes, il y a eu une amorce avec les négociations dans le cadre du Ségur de la Santé qui a vite montré ses limites dans la traduction dans les faits de cet accord du 13 juillet 2020. Après un quinquennat MACRON largement contestable en termes de bilan, on pourrait donc s’attendre à l’aube des prochaines élections présidentielles (les 10 et 24 avril 2022) à voir apparaître des propositions concrètes pour améliorer notre modèle de santé publique, nos hôpitaux publics, notre Sécurité Sociale, …

Un préavis de grève national a été déposé par la CGT pour le jeudi 17 mars 2022. Les prix flambent (essence, électricité, gaz, alimentation, ...) et il y a une réelle urgence à augmenter les salaires. La récente promesse électorale de dégel du point d'indice est un premier signal mais nos revendications sont une mise en oeuvre immédiate pour contrer l'inflation et rattraper la perte de pouvoir d'achat !!!

RDV à 14h Place Dombasle à NANCY à la manifestation organisée par la CGT.

Plus d'infos sur :  http://www.sante.cgt.fr/Toutes-et-tous-en-action-le-17-mars-pour-l-augmentation-des-salaires-et-du

Il s’agit de venir en aide aux agents ayant eu des frais occasionnés pour la garde d’enfants du fait de la crise sanitaire.   Critères: * Avoir fait son dossier CGOS 2022.  * Être en activité.  * Ce sera destiné aux enfants de 0 à 11 ans, nés à partir de 2010.  * Un Versement Unique au 1^er Juillet 2022 et session de rattrapage août ou septembre 2022.  * Le montant de la prestation varie selon le QF de 50 € à 100€ par enfant. Ouverture de la prestation au-delà du QF plafond.

Pouvoir d'achat, salaires, augmentation du point d'indice dans la fonction publique ! Tous concernés !

Grève et mobilisation nationale à l'appel de la CGT, le jeudi 27 janvier 2022 RDV sur NANCY à 14 h 00 Place Dombasle

Un préavis de grève a été déposé.

• l’obligation pour l’employeur de négocier un accord local avant le 31 décembre 2021,
• la possibilité de télétravailler 3 jours maxi par semaine, à la demande de l’agent,
• l’obligation pour l’employeur de motiver sa décision de refus et la possibilité pour l’agent de saisir les CAPL,
• l’obligation pour l’employeur de fournir à l’agent en télétravail les moyens en termes d’accès aux logiciels métiers, au réseau internet, à la téléphonie, ...,
• le versement d’une indemnité journalière de 2,50 € dans la limite de 220 € par an, ... 

Pendant que l’Hôpital Public crève, l’ordre infirmier est en train de faire pression pour empêcher les non-cotisants de se voir délivrer ou renouveler des cartes professionnelles de santé (CPS) et leur envoie des avis de pseudos huissiers pour exiger le paiement des cotisations ! Après échanges avec la Direction, la CGT rappelle que :

• L’employeur n’a pas à exiger de savoir si vous cotisez,

• L’employeur vous délivrera une carte professionnelle d’établissement (CPE) en cas de problème avec votre CPS,

• Seul un huissier mandaté par un tribunal peut vous contraindre à payer une cotisation et des arriérés,

• Vous n’êtes pas en exercice illégal de la profession si vous n’avez pas payé !!!

• Seuls les collègues récemment diplômés se doivent de cotiser (juste une année et stop) pour obtenir leur numéro RPPS, à présenter lors de l’embauche dans un établissement.

En cas de courrier reçu émanant de l’ordre ou d’une société de recouvrement, ne paniquez pas, alertez-nous et la CGT vous accompagnera dans vos démarches.

A l'occasion des Assises de la Santé Mentale et de la Psychiatrie (orchestrées par le gouvernement les 27 et 28 septembre 2021), la CGT appelle partout en France les personnels de la psychiatrie à se mobiliser.

Sur NANCY, mardi 28 septembre 2021, rassemblement à 14h devant l'ARS Grand Est 3 boulevard Joffre à 14h00, à l'appel de l'USD CGT Santé 54 et du SNP (pour les psychologues)

Plus d'infos sur : http://www.sante.cgt.fr/Le-28-septembre-mobilisons-nous-pour-une-psychiatrie-humaine-et-vivante Ci-dessous le communiqué de la CGT du CPN :

La psychiatrie, parent pauvre de la médecine, se trouve soudain cible de toutes les attentions :

• Rapports sur les CMP,

• Réforme de la tarification de l’activité en psy,

• Assises de la santé mentale fin juin-début juillet,

• Réformes de l’isolement et de la contention, …

Pour autant, on est bien loin d’aller vers des améliorations bien au contraire.

Mardi 15 juin 2021, journée de luttes et de mobilisation dans la santé et l'action sociale RDV à partir de 13h30 devant l'ARS Grand Est, 3 boulevard Joffre à NANCY à l'appel des USD CGT 54, 55 et 88

10 juin, journée nationale d'action des psychologues ! En lien notamment avec le SNP, diverses mobilisations sont prévues en territoire.

Sur NANCY, RDV à partir de 13h30 devant l'ARS Grand Est, 3 boulevard Joffre à NANCY.

Une délégation sera reçue (à laquelle participera une camarade du CPN) Plus d'infos sur : http://sante.cgt.fr/Mobilisation-nationale-des-psychologues-le-10-juin-2021

Alors que l’Hôpital s’enfonce dans la crise sanitaire et que les soignants se noient, il y en a un qui ne perd pas le Nord : l’ordre infirmier ! Souvent complice par son silence de la politique de casse vécue ces dernières années, renfloué à grand renfort d’argent public, voici que l’ordre infirmier entend faire la chasse de nouveau aux mauvais payeurs.

La psychiatrie n’en finit pas de se « réinventer » sous les impulsions de divers « experts » (Cour des Comptes, Inspection Générale des Affaires Sociales, …) Bref, plus technocrates, tu meurs mais comme on ne demande jamais l’avis des professionnels, ce n’est malheureusement pas une surprise. Olivier VERAN a bien promis des Assises de la Santé Mentale avant l’été mais là encore, si c’est pour fonctionner comme lors des Grands Débats mis en scène par MACRON après le mouvement des Gilets Jaunes, cela n’augure rien de bon. Revenons-en aux préconisations de la Cour des Comptes. Que dit-elle ?

La crise n’arrête pas ce gouvernement et les chantiers en cours n’augurent rien de bon.

1) Les revalorisations salariales

Le gouvernement a bien confirmé le gel du point d’indice pour l’année 2021 et certainement encore pour 2022. Le point d’indice est gelé depuis 2010 à l’exception du dernier « coup de pouce » (+0,6% en juillet 2016 et +0,6% en janvier 2017) La CGT estime que les fonctionnaires ont perdu 18% de pouvoir en 20 ans. Concernant les revalorisations Ségur, elles interviendront au mieux fin 2021 (octobre ?) et ne concerneront que certaines catégories soignantes. Il y a donc urgence à obtenir une revalorisation importante du point d’indice qui, elle, profitera à TOUS.  

Par communiqué de presse en date du 12 avril 2021, Olivier VERAN, notre Ministre de la Santé, faisait entendre dans tous les médias que les professionnels de santé allaient être massivement revalorisés à compter du 1^er octobre 2021 ! Une telle annonce se doit bien sûr d’être décortiquée tant les belles promesses de ce gouvernement ont suscité des déceptions par le passé : prime COVID, CTI de 183 €, ....   Pour l’instant, cette information relève plus d’une belle opération de communication à l’heure où l’Hôpital Public est au plus mal et manque de bras, où les professionnels s’épuisent, ... Comme titrait Libération : « pour apaiser un hôpital poudrière, VERAN signe un chèque aux soignants »

13 MOIS après le début de cette crise sanitaire, force est de constater qu’on en est encore au même point malgré les belles promesses du gouvernement !!! 

Mobilisons-nous jeudi 8 avril 2021 à 14 h 00 devant le siège de l’Agence Régionale de Santé Grand Est, boulevard Joffre à NANCY

Un préavis de grève a été déposé par la CGT Santé et Action Sociale 54

Les raisons de la colère : 

C’est encore une de ses annonces présidentielles dont on se serait bien passés. Sur toutes les ondes, mercredi 31 mars 2021, le Président MACRON, notre banquier de l’Elysée et accessoirement médecin épidémiologiste par VAE, nous expliquait qu’il allait falloir être responsables et mettre la vie sociale et économique à nouveau sur pause pendant 4 semaines. Un an après, il s’agit bien d’un reconfinement dont MACRON refuse de dire le nom mais surtout d’un cynisme sans limite : « merci aux soignants de faire encore quelques efforts supplémentaires ! » Et cette énième petite phrase ne passe pas mais alors pas du tout !!! 

Un signe fort de la volonté du maintien du statut de la Fonction Publique et de la CNRACL, régime spécifique de retraite pour la FPH et FPT, mais aussi l’affirmation du rejet du projet de la réforme des retraites de M. Macron. En plaçant nettement la CGT première organisation aux élections CNRACL, les fonctionnaires territoriaux et hospitaliers, ainsi que les retraité.e.s ont exprimé clairement leur confiance dans la CGT ! La CGT confirme sa première place d’organisation syndicale chez les actif·ve·s et les retraité·e·s au Conseil d’Administration de la CNRACL (Caisse Nationale de Retraite des Agents des Collectivités Locales), régime couvrant les risques « vieillesse » et « invalidité » des fonctionnaires territoriaux et hospitaliers, avec 28,76 % des voix chez les actif.ve.s (13 listes candidates) et 23,96 % des voix exprimées chez les retraité.e.s (12 listes candidates).

La CGT alertait déjà à l’époque d’Hospyweb sur le fichage des patients en psychiatrie et l’amalgame qui était fait avec la délinquance ou le terrorisme dans l’utilisation de ces données par les services du Ministère de l’Intérieur. Aujourd’hui, MACRON et ses ministres s’inscrivent dans la droite ligne de cette politique qui avait été célébrée sous SARKOZY (discours d’Antony le 2 décembre 2008 sur les fous dangereux) 3 décrets publiés au JO le 2 décembre 2020 (dans le cadre de la loi dite de Sécurité Globale) permettent désormais aux forces de l’ordre d’avoir accès à des données telles que :

La CGT vous en avait parlé il y a plusieurs mois, la réglementation vient de changer au 1^er janvier 2021. La loi n° 2020-1576 du 14 décembre 2020 de financement de la sécurité sociale pour 2021 (article 84) stipule que :

Non contents d’appliquer les méthodes du lean management aux salariés, certains pôles ont la bonne idée de l’étendre pour les patients eux-mêmes. Sur le service ACTIV en proie à une restructuration féroce faute d’activité, on demande désormais aux soignants de produire encore plus de soins. Le projet initial du Professeur Schwan n’a pas obtenu les résultats souhaités. Pour plus d’efficience, il est alors décidé d’augmenter la cadence des soins et de faire un bilan dans 6 mois. Comme avant un plan social dans une entreprise, on demande aux salariés des sacrifices pour sauver la boite. Parfois cela débouche quand même sur une fermeture …attention !

Pour une autre politique de santé !  Pour des recrutements massifs et des budgets à la hauteur dans nos hôpitaux !  Pour que les exclus du Ségur soient enfin entendus !  Pour de vraies revalorisations salariales ! Tous en grève le 4 février 2021  Rendez-vous sur NANCY à 10h30 Place Dombasle Plus de renseignements sur :  http://www.sante.cgt.fr/Le-4-fevrier-ensemble-faisons-entendre-nos-revendications

La CGT note les avancées proposées par la mission Laforcade ce lundi 25 janvier, 2nde réunion portant sur l’« Extension du CTI dans le secteur médico-social de la FPH – structures rattachées à un EPS » (Établissement Public de Santé). Le CTI (Complément Traitement Indiciaire) sera bien étendu à l’ensemble des professionnels des établissements médico-sociaux de la Fonction Publique Hospitalière, à condition qu’ils soient rattachés à un établissement public de santé (MAS, FAM, addictologie…). Un versement de 183 € pourrait ainsi être versé à partir du 1er juillet 2021. Il serait versé soit sous la forme d’une prime, donc non prise en compte pour la retraite, soit sous la forme du CTI, pris en compte pour le calcul des droits à la retraite, si une loi rectificative venait l’inscrire dans la LFSS 2021 (Loi Finance Sécurité Sociale).

Agents de la MAS, du CSAPA  travaillant sur le CPN mais aussi salariés des SSIAD, du REMM, de REALISE, des CHRS, …, vous avez été nombreux à interroger nos permanences CGT ces derniers jours après avoir lu certains tracts syndicaux clamant que les revalorisations et le versement du Complément de Traitement Indiciaire (CTI) étaient actés …

Depuis septembre 2020, la CGT défend et suit ce dossier avec sérieux et obstination.

Jusqu’à présent, les établissements publics de santé mentale étaient financés sous forme d’enveloppe fermée, appelée dotation annuelle de financement (DAF) Chaque année, le gouvernement déterminait des montants de dotations régionales, réparties ensuite par les Agences Régionales de Santé dans les établissements de leur territoire avec certains ajustements pour les établissements considérés comme surdotés (ex : le CPN) Ce financement étant bien évidemment insatisfaisant, cela faisait plusieurs années que les différents ministres de la Santé réfléchissaient à mettre en place une réforme.

Que de changement depuis le printemps dernier et suite aux mobilisations des soignants du mois de juin ! Après la vague d’empathie, les applaudissements, les belles promesses et les engagements à nous projeter vers un monde meilleur, où en est-on aujourd’hui au moment où est examiné le Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale ? Quelques exemples révélateurs et confirmés pour 2021 :

Depuis la signature du Ségur par certaines organisations syndicales, les agents ont commencé à découvrir l'envers du décor (et ce n'est malheureusement qu'un début !) A commencer par nos collègues du médico-social exclus de la revalorisation de 183 € net mensuels. La CGT, en complément des actions initiées pour défendre les professionnels de la MAS, du CSAPA, du CRA et du service Mandataire Judiciaire, vous propose de signer la pétition ci-dessous : http://chng.it/6GwQXgnsTb Des courriers ont déjà été adressés au Ministère, aux élus, à la presse, ... et nous avons même obtenu une motion du Conseil de Surveillance du CPN qui a été adressée au Ministre et à l'ARS. D'autres initiatives sont en cours et seront poursuivies jusqu'à ce que ce traitement discriminatoire cesse !

Le 19 juin 2020, saisi par diverses associations dont la Ligue des Droits de l’Homme, le Conseil Constitutionnel a déclaré les dispositions actuelles relatives à l'isolement et à la contention en psychiatrie issues de la loi de Santé de 2016 contraires à la Constitution. Il fixe la date de l'abrogation des dispositions contestées au 31 décembre 2020.

La CGT n’a jamais cru à la fausse empathie de notre Président de la République qui déclarait devant les caméras le 12 mars 2020 avoir compris et entendu les soignants : « la santé n’a pas de prix », « quoi qu’il en coûte », « il va falloir interroger notre modèle de développement », …. Pas plus aux discours du Ministre de la Santé le 23 mars 2020 sur la prime COVID pour tous ou encore la reconnaissance automatique de la COVID19 en maladie pro !

Le 1^er Ministre et le Président de la République ont déjà prévenu : la crise n’a pas vocation à remettre en question la réforme des retraites (système à points). Pour la CGT, au contraire, tout est à abandonner car si nous étions passés à un système à points, les pensions de retraites et la valeur du point auraient enregistrés des baisses record pendant cette crise !

Infirmier en pratique avancée (IPA) en psychiatrie C’est un diplôme d’État, accessible après 3 années d’exercice infirmier à temps plein, sous condition d’être inscrit à l‘ONI, qui confère le grade de master en 4 semestres La formation d’IPA inclut 2 stages de 2 et 4 mois ainsi que la remise d’un mémoire. Dans les matières enseignées, on trouve : « approfondir la relation thérapeutique, les grandes théories de l’apprentissage, la sémiologie, les relations entre pathologies avec les éléments biographiques et facteurs environnementaux, les principales psychothérapies et leurs indications, les stratégies thérapeutiques afférentes aux pathologies, les référentiels scientifiques… »   L’IPA pourra prescrire dans le cadre de protocoles établis avec le psychiatre, il sera chargé de coordonner et d’organiser le parcours de soins avec tous les acteurs, il pourra également former et rédiger des référentiels de bonne pratique, il contribuera aux travaux de recherche, …

Tous en GRÈVE  Jeudi 17 septembre !   Conditions de travail déplorables, annulation des repos, remplacements à tout va, salaires au rabais … Ils proposent « la relance », exigeons la rupture !                Exigeons un Ségur 2 axé sur les embauches, les réouvertures de lits, l’amélioration des conditions de travail et des salaires décents.

La CGT du CPN  appelle à rejoindre la manifestation interprofessionnelle. A Nancy, 13h30 place Dombasle.

Ce rassemblement se fera dans le respect des gestes barrières, avec l’indispensable port du masque. Préavis de grève national déposé : http://www.sante.cgt.fr/Preavis-de-greve-specifique-du-17-septembre-2020

Pour mémoire, lors de son discours à Mulhouse le 25 mars dernier, le Président Macron annonçait la mise en place d'un "plan massif d'investissement et de revalorisation de l'ensemble des carrières" pour l'hôpital, une fois la crise du coronavirus passée. Le président promettait d'être "au rendez-vous de ce que nous devons, au-delà de cette reconnaissance et du respect". "Cette réponse sera profonde et dans la durée"   Une arnaque de prime COVID et des semaines de Ségur plus tard :

A l’aube d’une nouvelle journée de mobilisation le 30 juin prochain, le Ministre de la Santé, jusqu’à présent absent des négociations du Ségur de la Santé, est venu mettre sur la table 6 milliards d’euros. Cette somme d’un montant considérable pour le commun des mortels, a bien évidemment été relayée sans analyse de fond par de très nombreux médias.   Le bureau de l’Union Syndicale Départementale CGT Santé Action Sociale 54 a décidé d’en faire une synthèse et de la porter à la connaissance du plus grand nombre (militants, salariés et usagers)

Plus que jamais, la Santé est une des premières richesses qu’il faut préserver, car c’est un sujet qui concerne tout le monde sans distinction. En cette période de pandémie de COVID 19 qui traverse notre pays et le monde entier, les personnels des établissements de Santé et d’Action Sociale du sanitaire, du médico-social et du social se battent inlassablement pour sauver des vies au risque de perdre leur propre santé et leur propre vie.

Dans le secteur de la santé et de l’action sociale où les femmes sont fortement représentées, mobilisons-nous pour gagner l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes au travail et dans la société . La Fédération CGT Santé et Action sociale fait des propositions pour que l’égalité entre les femmes et les hommes soit une réalité :

Faute de convaincre l'opinion sur sa retraite à points, le gouvernement choisit la contrainte et le passage en force avec l'article 49-3. Malgré cela, restons mobilisés pour réaffirmer haut et fort que de cette réforme, on n'en veut pas !!!  

Tous en grève et dans la rue le jeudi 5 mars 2020 Rassemblement à partir de 13h30 Place de la République à NANCY

Depuis le 5 décembre 2019, la CGT est dans la rue et ne désarme pas pour obtenir le retrait de la réforme des retraites à points. Ce qu’il faut retenir de ses impacts sur les personnels hospitaliers :

Nouvelle journée de grève et de mobilisation contre le projet de réforme des retraites.

Rendez-vous jeudi 20 février 2020 à NANCY Place de la République à partir de 13h30

Plus d'infos sur : https://www.cgt-ud54.fr/ressources/doc_articles/tract_20_février_2020_UD1.pdf

La CGT appelle les professionnels, les usagers et les politiques à venir nous soutenir devant l’Agence Régionale de Santé Grand Est, 3 boulevard Joffre à NANCY Rendez-vous au stand CGT vendredi 14 février 2020 de 13h30 à 16h30

Toujours déterminés et mobilisés jusqu'au retrait du projet de reforme des retraites !!!

Nouvelle mobilisation le vendredi 24 janvier 2020 à 13h30 (départ du cortège place de la République à NANCY)

Un préavis de grève national couvre les agents pour cette journée. Plus d'infos et d'argumentaire sur : http://www.sante.cgt.fr/Toujours-determine-e-s-et-mobilise-e-s-jusqu-au-retrait-du-projet-de-reforme

Mardi 14 janvier 2020, la CGT et le collectif pas de bébé à la consigne appellent à la grève partout en France pour faire pression contre la future réforme de la petite enfance. Pour en savoir plus : http://www.sante.cgt.fr/La-reforme-de-la-petite-enfance-dans-le-cadre-de-la-loi-ESSOC-continue-son Une manifestation organisée par la CGT du CCAS et de la Ville de NANCY est prévue Place Stanislas à 14 h 00. La CGT du CPN invite tous les collègues de la Crèche du CPN à s'y associer.

Pour défendre notre système de santé et nos retraites, la CGT vous invite à rejoindre les mobilisations du mardi 17 décembre 2019 qui se dérouleront sur NANCY : - à partir de 9h30 devant l'Agence Régionale de Santé Grand Est, à l'appel de l'Union Syndicale Départementale Santé Action Sociale 54, - à partir de 13h30 Place de la République (départ de la manifestation contre la réforme des retraites) Tous les préavis de grève et tracts nationaux sont consultables sur : http://www.sante.cgt.fr/17-decembre-2019-large-appel-unitaire-a-la-greve-et-aux-mobilisations

Cette réforme des retraites, on n’en veut pas !   NON A LA BAISSE DES PENSIONS NON AU RECUL DE L’AGE DE DEPART Tous ensemble, faisons reculer le gouvernement ! Une participation massive est indispensable !  Tous en blouse pour défiler derrière la banderole de la CGT du CPN ! Rendez-vous jeudi 5 décembre 2019 à 13h30 Place de la République à NANCY

Depuis janvier 2019, 116 femmes sont mortes sous les coups de leurs compagnons ou ex-compagnons. Un décompte effrayant qui ne fait qu’augmenter jours après jours.

La CNRACL (Caisse nationale de retraites des agents des collectivités locales) est une caisse de retraite pour les agents de la fonction publique fondée en 1945. Elle couvre aujourd'hui plus de deux millions d'agents issus de la fonction publique hospitalière et de la fonction publique territoriale. Les derniers mois ont été intenses pour le fonctionnement de la CNRACL. Les ministères de tutelle ont montré leur vrai visage et leur volonté farouche d’en finir avec ce régime spécifique doté d’un conseil d’administration élu par les affilié.e.s et les retraité.e.s. Les tutelles ont clairement fait savoir leur volonté de s’opposer aux décisions démocratiques d’utilisation du fonds d’action sociale venant en aide aux pensions les plus basses. Les représentants des tutelles ont d’ailleurs décidé de ne plus participer aux travaux des commissions de la caisse, à l’exception de la commission des comptes. Que les représentant.e.s des affilié.e.s, des retraité.e.s, des employeurs puissent décider du fonctionnement de la caisse de retraite et soient amené-e-s à la gérer, c’est en dehors de leur mode de penser. Il est d’autant plus important de défendre et de promouvoir ce régime spécifique de retraite des agents de la Fonction Publique Hospitalière et Territoriale.

Pour rappel, la fonction publique hospitalière dispose statutairement que les hôpitaux prennent en charge les frais d’hospitalisation pour une durée de 6 mois, les soins médicaux dispensés et les médicaments délivrés dans l’établissement. Les employeurs n’ont de cesse de vouloir faire disparaître cet « avantage » Le CGOS, quant à lui, couvre partiellement les pertes de rémunérations pour 150 jours d’arrêt par an mais uniquement sur la base du salaire hors primes. La Cour des Comptes conteste aujourd’hui la nature de cette prestation qui représente 96 millions d’euros par an en 2018 et tend à augmenter.

Aprement combattue par la CGT, la loi de Transformation de la Fonction Publique a été publiée le 6 août 2019. La CGT vous propose une synthèse des principales mesures et continue à demander son abrogation.

Le 2 juillet dernier, à l’occasion d’une parodie de rendez-vous salarial, Olivier DUSSOPT a confirmé que le pouvoir exécutif n’entendait toujours pas augmenter les salaires des agents de la Fonction publique en 2020 et sans doute pas davantage en 2021 et 2022.  On ne saurait parler de surprise puisque nos gouvernants sont au progrès social et à la justice économique ce que Donald Trump est à la poésie et à la délicatesse !  Les conséquences du gel interminable de la valeur du point d’indice et de l’absence de mesures générales étaient déjà préoccupantes ; elles deviennent à présent catastrophiques.

Plusieurs centaines de services hospitaliers sont en grève partout en France, aux urgences mais pas seulement ! La population nous soutient à plus de 90% pour les luttes menées. Les soignants ne cachent plus leur colère et leur insatisfaction devant les réponses apportées (ou pas !) par notre Ministre de la Santé : IPA, modification des formations, ... Nous ne nous satisferons pas de mesurettes : la CGT exige des moyens pour l’hôpital, des embauches, un moratoire sur la fermeture de lits ou de services ainsi qu’une revalorisation de nos salaires ! Stop au bla-bla et aux missions d’experts ! Il est urgent d’agir, Madame la Ministre !

Le 14 novembre 2019, la CGT appelle à une journée morte dans la santé et l'action sociale. ENSEMBLE, mobilisons-nous massivement pour peser sur les choix politiques qui se font à l'occasion de l'examen du Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale pour 2020. Ne laissons pas crever l'Hôpital Public !  Exigeons des moyens et des budgets à la hauteur des enjeux ! Tous les tracts et le préavis de grève national sont disponibles sur : http://www.sante.cgt.fr/14-novembre-2019-appel-a-mobilisation-nationale

Les patients sous tutelle de l’hôpital psychiatrique NE POURRONT PLUS Y RETIRER LEUR ARGENT ! La loi du 23 mars 2019 de réforme de la justice, et les directives de la Direction Générale des Finances Publiques du 13 juin 2019, applicables au 1er janvier 2020, privent les patients sous tutelle d’un établissement psychiatrique public de la possibilité d’y retirer leur argent. Cette disposition concerne tous les patients de psychiatrie ou d’EHPAD.

NON à la retraite par points que tente de nous imposer le gouvernement à grand renfort de communication et d'études bidon !!! Retrouvez sur ce lien un décryptage CGT avec un calculateur https://reforme-retraite.info/ Alors, on retient la date du 24 septembre 2019 pour manifester pour notre système de retraite par répartition !

Madame la Ministre, Vous n’êtes pas sans ignorer les centaines de mouvements sociaux qui, depuis plusieurs mois, s’expriment avec force sur tout le territoire dans les établissements de la Santé et de l’Action sociale comme au sein des services d’urgences, de maternité, de la protection de l’enfance, des structures pour personnes âgées comme les EHPAD, l’aide à domicile, de la Psychiatrie et autres secteurs. Les personnels médicaux et non médicaux, avec la CGT, dénoncent le manque drastique et systémique de moyens humains, matériels et budgétaires dans tous les établissements.

La profession Infirmière se développe. En effet, le diplôme d’Etat d’Infirmier.e en Pratique Avancée a été officialisé depuis octobre 2018… comme pis-aller pour tromper les attentes des populations fragilisées par les déserts médicaux... A ce jour, la CGT dénonce :

Retrouvez toutes les photos et vidéos de la mobilisation du 2 juillet 2019 dans la Cour d'Honneur de l'Hôpital Central à NANCY sur nos pages Facebook :

@cgtcpnlaxou @cgtsanteas54

Ci-dessous le communiqué national :

Le 12 juin 2019 Messieurs les Ministres, En amont du « rendez-vous salarial » que vous avez fixé au 2 juillet, la CGT porte à votre connaissance les principales revendications qu’elle portera à l’occasion de cette réunion. Au préalable, nous soulignons que nous aspirons vivement à ce que cette rencontre soit l’occasion d’une véritable négociation où les différents points de vue puissent être entendus et pris en compte, à l’inverse donc de la méthode qui prévaut depuis maintenant deux ans et qui consiste à imposer les points de vue gouvernementaux. 

A l'appel de la CGT, de FO et SUD, nos organisations syndicales sont invitées à mettre en oeuvre des initiatives au sein de leurs établissements pour lutter contre les réformes néfastes du gouvernement qui passent actuellement en examen à l'Assemblée Nationale : - la réforme de la fonction publique - la loi Ma Santé 2022 Nos organisations syndicales seront reçues par la Ministre de la Santé. Ci-dessous le tract de la CGT du CPN

La Fédération de la Santé et de l’Action Sociale a adressé une lettre ouverte à la ministre des Solidarités et de la Santé au sujet de la situation de la Psychiatrie.

Lire ci-dessous : http://www.sante.cgt.fr/Lettre-ouverte-a-la-ministre-des-Solidarites-et-de-la-Sante

La Fédération CGT de la Santé et de l’Action Sociale a décidé de ne pas siéger au Conseil Supérieur de la Fonction Publique Hospitalière de ce 4 mars 2019  avec comme seul point à l’ordre du jour la présentation de la future loi dite « Projet de loi de transformation de la fonction publique »  Pour la CGT, réunir cette instance dans le seul but d’informer et de demander d’émettre un avis sur une partie de la loi traduit le mépris et relève d’une nouvelle provocation envers les organisations syndicales et les salarié.e.s. qui attendent de réelles mesures salariales ainsi que des améliorations de leurs conditions de travail et de vie.

Faute d'être entendus, montons d'un cran et intensifions les mobilisations. Alors en mars, la CGT du CPN vous invite à nous rejoindre sur les mobilisations suivantes :

• Le 14 mars 2019 : appel de la CGT Santé à de multiples mobilisations partout en France pour dénoncer la casse de la psychiatrie publique et exiger des moyens

• Le 19 mars 2019 : appel de la CGT à manifester pour une autre politique sociale et une redistribution des richesses

• Le 21 mars 2019 : Printemps de la Psychiatrie ! On monte à Paris !

D'autres informations suivront (horaires, lieux de rassemblement et initiatives retenues)

La Fédération CGT Santé a déposé un préavis de grève spécifique pour mardi 5 février 2019, Elle rejoint l'appel à une grande journée de mobilisation public et privé. La CGT du CPN relaie le mouvement auquel elle participera. Le préavis de grève a été diffusé le 30 janvier à tous les cadres du CPN.

Nous vous invitons à nous rejoindre dans le cortège mardi 5 février 2019 Départ de la manifestation à 14 h 00 - Place Dombasle à NANCY

Ci-joint les différents tracts et le préavis de grève : http://www.sante.cgt.fr/Pour-gagner-sur-nos-revendications-Ensemble-dans-l-action-le-5-fevrier

La CGT du CPN rejoint cette journée nationale de la psychiatrie, à Paris, le 22 janvier. La mobilisation s'annonce très suivie, de nombreux hôpitaux en lutte, associations, collectifs et organisations seront présents.

Que cette journée fasse suite à une année de la psychiatrie!

La Confédération appelle à continuer la mobilisation ce mardi 18 décembre autour des mots d'ordre d'augmentation du SMIC, des salaires, des pensions, des minima sociaux et pour une sécurité sociale de haut niveau. 

Ce mardi 18 décembre, les syndicats des organismes sociaux (CPAM, UGECAM, CAF, etc.) appellent à la grève pour la défense de la Sécu et de la protection sociale. L'Union locale CGT de Nancy vous appelle à vous mobiliser le mardi 18 décembre 2018, à rejoindre et à renforcer la mobilisation des salarié-e-s et camarades des organismes sociaux en allant au rassemblement prévu devant la CAF de Nancy (21 rue Saint-Lambert) à 14h00. Ci-dessous le tract CGT :

Dans les suites de la journée syndicale du 1er décembre 2018 qui a réuni 15 000 personnes à Paris, la CGT a décidé d’une nouvelle journée de mobilisation nationale le 14 décembre. Sur NANCY, la CGT appelle à un rassemblement :

Vendredi 14 décembre 2018 à 10 heures devant la Maison du Peuple - 2 rue Drouin à NANCY

Pour dire NON à cette politique qui ne bénéficie qu’aux « premiers de cordée », la CGT propose notamment :

Cela commençait plutôt bien en ce mardi 18 septembre 2018, date choisie par le Président MACRON pour présenter son fameux « plan pour restructurer le système de santé pour les 50 années à venir »

En préambule, le Président commençait par reconnaître le mal-être des soignants, le sentiment grandissant de ne pas avoir assez de temps pour faire du bon travail, l’absence de perspectives, …

Le Président détailla ensuite ce qu’il proposait pour remédier à cette situation :

Le 4 octobre 2018, la CGT du CPN organisait une permanence dédiée à l’ordre infirmier pour répondre aux questions des agents sur les conséquences de la parution du décret du 10 juillet.

Dans une note d’information N°137/2018 datée du 26 septembre, le DRH informait les infirmiers qu’ils devaient fournir certains éléments avant transmission à l’ordre.

Plusieurs agents nous ont donc interpellés pour tenter d’y voir plus clair face au risque d’instrumentalisation par certains personnels d’encadrement ou de direction (qui ont peut-être intérêt à faire croire que l’adhésion à l’ordre est obligatoire !?)

Exemple de questions posées à la CGT :

Le décret du 10 juillet 2018 prévoit les conditions d’inscription automatique à l’ordre infirmier.

Que dit exactement le décret ?

- pour octobre 2018, la Direction de chaque établissement doit adresser à l’ordre infirmier la liste des personnels avec leur nom, prénom, adresse postale et électronique, date d’obtention du diplôme, … (opération à effectuer tous les 3 mois pour renseigner toute nouvelle embauche), - les agents sont alors inscrits provisoirement à l’ordre pour 4 mois, - l’ordre infirmier leur adresse ensuite un courrier ou un mail leur demandant de cotiser pour inscription définitive avec les pressions habituelles (menaces d’être en exercice illégal, ...), - faute de réponse de la part de l’infirmier, l’ordre envoie une mise en demeure de régulariser sous 30 jours, - en absence de réponse, l’ordre informe alors l’agent et son employeur que l’adhésion n’a pas été faite.

A l'appel de toutes les organisations syndicales de la fonction publique, les agents publics étaient amenés à cesser le travail partout en France. ​Plus de 90 000 manifestants sur toute la France dont 1 500 à NANCY.

​Au CPN, la Direction a comptabilisé 110 grévistes et 212 agents ont été assignés (donc privés du droit de faire grève pour des raisons de continuité des soins et du service public) ​Ci-dessous le communiqué national de la CGT :

La Fonction publique, c’est 5,4 millions d’agent·e·s, dont 3,3 millions de femmes, soit 62 %. L’écart salarial entre les femmes et les hommes titulaires y est de 19 %. L’écart salarial femmes-hommes est de : ➜ 14,4 % dans la Fonction publique d’État ➜ 8,3 % dans la Fonction publique territoriale, ➜ 21,4 % dans la Fonction publique hospitalière. Dans les trois versants, 82 % des temps partiels sont occupés par des femmes. Dans une période où les droits des femmes sont constamment remis en cause, nous devons faire de ce 8 mars une grande journée pour l’émancipation des femmes au travail et dans la société.

Après 9 mois de prise de fonctions dans le gouvernement en place et plusieurs reports de rendez-vous, la Fédération de la Santé et Action Sociale CGT, 1ère organisation représentative de salarié.e.s dans la Fonction Publique Hospitalière, a enfin rencontré le jeudi 15 février, Mme BUZYN, la Ministre des Solidarités et de la Santé, en présence de son Directeur de Cabinet, Mr BUBIEN.  Nous avons exprimé à la Ministre que ce retard était ressenti par nombre de nos militant.e.s comme un signal très défavorable à notre égard et un mauvais message envoyé aux salarié.e.s que nous représentons, d’autant que le climat social est très tendu dans les établissements de la Santé et de l’Action Sociale, publics et privés.

LE 22 MARS 2018 PAR LA GRÈVE ET LES MANIFESTATIONS Défendons toutes et tous la Fonction publique

Le gouvernement vient de restaurer (dans le sens faire du neuf avec du vieux) la journée de carence des fonctionnaires pour 2018, consistant en le non-paiement du premier jour d’un arrêt-maladie. Cette mesure est idéologique et économique.

Le CPN a dernièrement été visité par les collaborateurs du Contrôleur Général des Lieux de Privation de Liberté (CGLPL)

Nous attendions le rapport qui est arrivé et est résumé comme suit par notre chère Direction : « la perception globale de l’établissement que la mission des contrôleurs décrit comme bienveillant et bientraitant. Au-delà des points forts, elle nous a fait part des limites qui seront pour nous des leviers d’amélioration de notre service à l’usager » (Fil Info du 07/07/17)

Pas si mal le CPN, donc ?

Le 26 septembre 2017, la CGT appelle à la grève et au rassemblement devant les Agences Régionales de Santé partout en France.

Sur NANCY, nous vous donnons rendez-vous le 26 septembre à 13 h 30 devant l’ARS  boulevard Joffre. Une délégation de la Commission Régionale CGT Psy sera reçue à 14 h 30. Un préavis de grève local est déposé pour cette journée.

• le 12 septembre : journée d'action contre la réforme du code du travail
• le 26 septembre : journée nationale d'action psychiatrie

Les citoyens ont fait preuve d’une grande responsabilité en faisant barrage au front national.

Toutefois, le score élevé qu’obtient sa candidate est une blessure importante. Sans attendre de nouvelles échéances électorales, la CGT continuera résolument à lutter, avec les salariés, contre les conséquences désastreuses de l’influence grandissante de l’extrême droite.

Depuis sa création, la CGT a toujours combattu l’extrême droite et le fascisme, elle est restée fidèle à ses valeurs tout au long de son histoire.

La CGT a appelé les salariés à ne donner aucune voix à ce parti raciste, xénophobe, sexiste, homophobe, libéral et anti social. Mais c’est au quotidien, et non pas seulement au soir du premier tour de l’élection présidentielle, que la CGT et ses syndicats combattent le front national.

Le gouvernement a voulu lancer une concertation à un mois des élections pour faire croire à des avancées majeures pour les personnels soumis à nécessité de continuité de service public jour et nuit dans la Fonction Publique Hospitalière. L’évolution du montant des indemnités de sujétion qui était envisagée allait permettre une vraie reconnaissance de la pénibilité des contraintes de cette continuité (travail 7 jours sur 7, repos variables, horaires décalés, travail de nuit, etc).

La décision du ministère de la santé de revaloriser l’indemnité de travail de nuit pour les personnels soignants a été annoncée la semaine dernière.

Quel luxe d’augmenter « gracieusement » cette indemnité de 1,50 € par nuit (0.15 € par heure travaillée !) alors que la dernière réévaluation date de 2001...

Ca y est, c'est officiel, Madame Ségolène Neuville (secrétaire des affaires sociales, de la santé, chargée des personnes handicapées et de la lutte contre l'exclusion) nous annonce que seuls les futurs diplômés titulaires du diplôme d'état réformé seront reconnus au niveau BAC +3. Tous les autres professionnels titulaires des diplômes d'état (ASS, ES, CESF, EJE) continueront à voir leur 3 années d'étude post bac reconnues ... Bac+2!!   Quelle belle arnaque pour tous ces professionnels qui accompagnent au quotidien des personnes en situations de vulnérabilité et qui une fois de plus ne sont pas reconnus.

Le 15 mars 2017, 2 nouveaux décrets sont parus. Ils créent la prime hospitalière d'engagement et la prime d'exercice territorial en faveur des médecins hospitaliers.

Qu'en est-il en détails ?

Le 28 mars 2017

Madame, Monsieur,

Dans le cadre de l’élection présidentielle à laquelle vous présentez votre candidature, la CGT Fonction Publique, première organisation syndicale dans les trois versants, souhaite vous rencontrer afin d’échanger sur le contenu de votre programme concernant la Fonction Publique et les services publics.

Depuis de trop longues années, force est de constater que loin de recueillir le soutien unanime des élu-e-s et notamment de la majorité gouvernementale, le service public et les agents qui le rendent sont constamment ciblés par des mesures d’austérité.

Le Conseil d’Administration du CGOS, réuni le 14 décembre 2016, a voté la baisse des prestations, dont celle de la prestation maladie versée par la CGOS, avec les seules voix de la FHF (les directeurs d’établissements) et en usant de la voix prépondérante du Président.

Celle-ci passera de 47,5% à 45% du salaire dès le 1er janvier 2017 et de 33% à 31,25% pour les mères de familles de 3 enfants et plus. 

En racontant l’étonnante histoire de la Sécu, le film de Gilles Perret « La Sociale » rend justice à ses héros oubliés, mais aussi à une utopie toujours en marche, et dont bénéficient 65 millions de français. Vous pouvez :

• voir la bande annonce : http://www.dailymotion.com/video/x43td1e

• aller sur le site : www.lasociale.fr

• visiter la page facebook : https://www.facebook.com/lasocialel... Une soirée projection-débat de « La Sociale » de Gilles Perret avec Bernard FRIOT aura lieu le 16 décembre 2016 au Caméo  https://www.cameo-nancy.fr/les-sorties-les-rencontres-les-soirees/icalrepeat.detail/2016/12/16/486/-/soiree-debat-la-sociale

Au travail, dans les transports, dans la vie, toutes les femmes ont déjà été témoins ou victimes de propos, comportements sexistes voire violents. Cela ne peut plus durer ! Agissons pour construire une société égalitaire, non violente et non sexiste ! La CGT dénonce et formule des propositions.

• les fonctionnaires hospitaliers ont déjà eu des hausses de salaires (1,2 % en 2 fois, PPCR, ...)
• des recrutements supplémentaires ont été effectués dans les hôpitaux sous le gouvernement HOLLANDE
• un groupe de travail va plancher sur la qualité de vie au travail et sur l’articulation vie privée - vie professionnelle  

La CGT se félicite de la mobilisation en ligne #7novembre16h34 qui permet de remettre la question des inégalités salariales sur le devant de la scène. La vitesse avec laquelle les internautes se sont emparées de l’initiative confirme bien que les inégalités sont devenues inacceptables pour les salarié-es. Le succès de la campagne #VieDeMère lancée par la CGT et son UGICT le 3 octobre en offre la démonstration.

La CGT souhaite que cette dynamique puisse trouver sa traduction sur le terrain. La CGT adresse donc un courrier aux organisations syndicales et associations féministes leur proposant de se rencontrer pour travailler à la concrétisation d’une journée d’action et de grève pour les droits des femmes, à l’occasion du 8 mars par exemple.

Le 1er septembre 2016, le CGOS s’est réunie en AG exceptionnelle pour voter un nouveau plan de consolidation du régime Complémentaire Retraite Hospitalier - CRH, comme cela avait déjà été le cas en mars 2008 (88 voix POUR : FHF et FO / 44 CONTRE : CGT - CFDT - SUD - UNSA) Déjà en 2008, la CGT n’avait pas voté le 1er plan pour plusieurs raisons : sur les 1,96 milliards d’€ à trouver pour les 20 ans à venir, 1,2 M d’€ était ponctionnés sur les rentes des allocataires nullement responsables de la mauvaise gestion de ce régime.  L’État (parce que co-gestionnaire du CGOS jusqu’en 1998) s’est engagé à verser pendant 20 ans 14 millions d’€ par an pris sur le budget de la Sécurité Sociale, mesure intolérable pour la CGT.  Les assurés sociaux ou les contribuables n’ont pas à financer une retraite par capitalisation facultative.  La part de l’effort du groupe assurantiel Allianz de 24 millions/an, qui est gestionnaire de la retraite, était bien trop insuffisante pour la CGT.   Aujourd’hui, le bilan est fait : il manquera entre 880 M d’€ et 1 milliard d’€ au bout du plan de consolidation en 2027.

Les quelques mesures présentées par Marisol Touraine pour répondre à la perte d’attractivité de l’hôpital public pour les médecins sont loin de répondre à l’urgence de la situation. Depuis des années la situation ne cesse de s’aggraver. Les causes en sont connues et sont aggravées par la loi de santé portée par la Ministre et par l’étranglement financier de l’hôpital public par les différents plans d’économie, confirmé et amplifié par le PLFSS pour 2017. La situation est même pire que lors de l’arrivée de la Ministre à son poste. L’organisation du travail autoritaire dont le seul objectif est l’équilibre des comptes a comme conséquence une explosion des risques psychosociaux avec une souffrance au travail débouchant sur une vague de suicides sans précédent. Sans noircir le tableau, la situation dans les hôpitaux est aujourd’hui pire que celle qu’a connu France Télécom lors de ses heures les plus noires.

UN SEUL CONSTAT : L’HOPITAL ET SES PERSONNELS SONT ATTAQUES DE TOUTE PART, AVEC UNE ACCENTUATION SANS PRECEDENT SUR LA PERIODE 2010/2016

Les deux lois hospitalières promulguées depuis 6 ans, que ce soit la loi HPST (Hôpital, Patient, Santé, Territoire), la loi Santé (dite de modernisation du système de Santé), ne sont que le côté pile et le côté face d’un seul objectif : la déstructuration du système hospitalier français. En seulement 6 ans ces deux lois complémentaires ont atteint leur objectif et eu les conséquences néfastes suivantes :

Les organisations syndicales de la Fonction publique CGT, FO, FSU, Solidaires et FA-FP appellent tous les personnels de la Fonction publique à participer aux actions de mobilisation (rassemblements, manifestations, grèves…) organisées lors de la journée du 15 septembre 2016 contre la loi Travail à l’initiative des organisations syndicales interprofessionnelles CGT, FO, SOLIDAIRES, FSU, UNEF, FIDL, UNL.

A Toulouse, au Havre, à Saint-Calais (72) ou à Reims, des infirmier.e.s ont choisi de se donner la mort. La cause : une organisation du travail qui provoque une insupportable souffrance au travail.

La CGT condamne avec force les attaques lâches et aveugles de Nice et de St Etienne du Rouvray, reflétant un obscurantisme qui ignore la démocratie et l’humanisme.

Elle poursuivra sans relâche, avec ses adhérent.e.s et militant.e.s, à défendre toutes les libertés et militera sans relâche pour un monde démocratique et de paix.

Le président du CSFPT Philippe Laurent, auteur du rapport sur le temps de travail dans la fonction publique.

Le rapport sur le temps de travail dans la fonction publique rendu public le 26 mai pointe des pratiques très différenciées d’une administration à l’autre et relève une durée annuelle inférieure de 1,4 % par rapport au secteur privé. Il est urgent d’harmoniser les pratiques et de rappeler la base légale de 1 607 heures par an, souligne le document.

La loi créant un ordre professionnel des pédicures-podologues, des masseurs-kinésithérapeutes et des infirmiers est parue en 2005. Depuis 10 ans, la CGT lutte contre cette structure de droit privé menant des missions de service public, originellement dévolue aux professions ayant un exercice majoritairement libéral (14% pour la profession infirmier.e.s).

Alors que les 1ers textes d’application viennent d’être publiés et que d’autres sont encore en attente, il a semblé nécessaire à la CGT de faire un rappel et un décryptage des dispositions contenues dans le protocole PPCR (Parcours Professionnels, Carrière et Rémunération)

• Le passage de la semaine de 48 à 40 h
• Les 15 jours de congés payés et donc pour la1ère fois le droit aux vacances
• Le weekend de repos
• La fixation d’un salaire minimal
• Des augmentations de salaire
• La reconnaissance du droit syndical en entreprise et des délégués des personnels, …

• Un vote par correspondance (enveloppe adressée à la CGT du CPN à déposer au vaguemestre)
• Un vote « physique » dans nos locaux pendant les jours de permanence (mardis 14 et 21 juin et vendredis 10 et 17 juin entre 8 h 30 et 16 h 00)

La Fédération CGT Santé et Action Sociale avait interpellé le Défenseur des Droits en 2014, suite au signalement de syndicats de plusieurs établissements hospitaliers où les directions sanctionnaient les femmes, l’année de leur maternité par un gel de note, malgré la réglementation en vigueur. Cette discrimination inadmissible et illégale a des conséquences sur leur carrière et leur traitement. La CGT du CPN avait également écrit au Ministère et à l'ARS en 2013 et 2014 pour demander la fin de ces pratiques.

L’intersyndicale nationale (CGT – FO – Solidaires – UNEF – UNL) du 20 mai dernier appelle à une grande manifestation centrale à Paris le 14 juin. Il nous faut d’ores et déjà nous organiser pour mobiliser et réussir cette manifestation unitaire.

Le 14 juin correspond au début des débats au Sénat sur de la loi El Khomri. Les débats au Sénat devraient durée 2 semaines, avant que la loi ne reparte à l’Assemblée nationale pour un vote définitif fin juillet. Le combat est donc loin d’être fini.

Après plus de 10 ans d’existence, l’intersyndicale anti-ordre infirmier (CGT-CFDT-FO-SNICS FSU-SUD-CFTC et UNSA Santé et Sociaux) a été reçue le 29 mars 2016 pour la première fois à l’Elysée par le Conseiller Social du Président de la République.

Durant cet entretien, l’intersyndicale a exprimé sa position récurrente de refus de l’ONI soutenue par l’immense majorité de la profession ainsi que sa colère suite au maintien de cet ordre dans la loi portant modernisation du système de Santé, et ce malgré les engagements politiques tenus notamment par la Ministre de la Santé lors de ses discours à l’Assemblée Nationale.  

Depuis le 9 mars, la mobilisation s’ancre chaque jour un peu plus, tant dans l’opinion publique que dans les organisations qui appellent au retrait du projet de loi dit « El Khomri », dont la CGT.

Les syndicats de la Fédération Santé Action Sociale, leurs syndiqué.e.s et les salarié.e.s ont ce jour participé à tous les cortèges de Paris et de Province. Déjà bien malmené.e.s par les conditions de travail exécrables et des attaques sans précédent de leur convention collective ou du statut de la Fonction publique, ils restent activement mobilisé.e.s pour faire obstacle à cette nouvelle loi.

Les 1 000 délégués réunis en congrès à Marseille du 18 au 22 avril 2016 ont analysé la situation économique et sociale, le contexte des mobilisations désormais ancrées dans le pays depuis plus d’un mois et demi.

La CGT lance un appel fort et déterminé à l’ensemble des salariés du privé et du public, des jeunes, des privés d’emploi, des retraités et de ses syndicats, à poursuivre et amplifier partout le rapport de force jusqu’au retrait du projet de la loi dite « Travail » dynamitant notre modèle social.

Depuis les premières lois de réforme hospitalière, la psychiatrie a perdu des milliers de lits et d’emplois, sa formation spécifique tant en formation initiale qu’en formation continue.

La loi santé va lui faire perdre définitivement la politique progressiste de secteur.

L’état des lieux de la psychiatrie montre une dégradation incessante au niveau de la qualité des soins, de la prise en charge, ainsi que des conditions de travail. Les Dotations Annuelles de Financement (DAF) sont gelées, voire en baisse. La psychiatrie est particulièrement ciblée par des mesures d’austérité qui imposent un fonctionnement identique à celui de l’entreprise. La cotation des actes et des prises en charge est synonyme d’uniformisation arbitraire et de mise en compétition à tous les niveaux des lieux de soins dans un contexte de budget contraint. Nous voyons d’ailleurs de plus en plus le privé lucratif répondre aux appels à projets des ARS et s’engouffrer dans les vides laissés vacants par le public.

53 articles, 7 titres, 131 pages où tout y passe, où tout est cassé :

Les organisations syndicales de retraité-e-s UCR-CGT, UCR-FO, UNAR-CFTC, UNIRCFE-CGC, SFR-FSU, UNIR-Solidaires et les associations de retraité-e-s FGR-FP, LSR, Ensemble & solidaires-UNRPA se sont rencontrées le vendredi 29 janvier 2016 et ont décidé d'appeler à une nouvelle mobilisation le 10 mars.

Elles ont constaté, malgré l'état d'urgence, la mobilisation dans les départements le 24 novembre : manifestations et rassemblements lorsqu'ils étaient autorisés, transformation de manifestations prévues en rassemblements, conférences de presse ayant reçu un bon écho dans les médias, interpellations des parlementaires, audience auprès des préfets, etc.

Elles ont pris acte des reculs sociaux sur les retraites qui risquent de s'accroître selon quelques rapports (OCDE sur l'âge de départ. Cour des Comptes sur la réversion, COR sur la situation des retraité-e-s en France).

•  entretien annuel d’évaluation obligatoire pour tous les contractuels recrutés par CDD de plus d’1 an,
•  création de commission administrative paritaire au sein des établissements à l’image des CAPL pour les titulaires,
•  redéfinition des modalités de licenciement, de démission, de reclassement et de période d’essai,

Dans le silence médiatique le plus complet, le parlement vient de voter des lois importantes pour la santé et la protection sociale qui ne répondent pas aux besoins de la population et des personnels

Trois lois importantes viennent d’être votées à l’Assemblée Nationale dans le cadre prégnant de la politique d’austérité :

Des milliers de salariés sont menacés de perdre leur emploi, à l’exemple des personnels d’Air France. La violence patronale avec une complaisance gouvernementale, suscite colère et indignation qui se traduisent par des actions collectives mobilisant les salariés. C’est dans ce contexte que les provocations patronales se multiplient afin de stigmatiser l’action syndicale !

Ainsi, 16 salarié-es d’Air France sont trainés devant le Tribunal de Bobigny le 2 décembre ! Leur faute ? Avoir manifesté leur refus de perdre leur emploi !

C’est inacceptable !

A l’occasion du 25 novembre, Journée Internationale contre les violences faites aux femmes, la Fédération Santé et Action Sociale CGT lance une campagne contre les violences sexistes et sexuelles subies au travail auprès des agent-e-s et des salarié-e-s de nos secteurs.

La CGT assume et revendique son rôle d’organisation syndicale productrice de norme sociale, de droits et garanties pour les salariés, dans le cadre de la négociation. Le principe de faveur doit prévaloir.

Le terme et les contenus du dialogue social sont aujourd’hui trop galvaudés, trop connotés négativement. La CGT substitue le terme et la notion de négociation sociale à ce qui est devenu ce jour un « monologue » social.

• Première notation :17
• La note maximale est de 25 selon l’évolution suivante :

Le constat dressé par les pouvoirs publics repose sur l’idée que le travail social ne serait plus adapté aux besoins de la population et/ou en adéquation avec les politiques sociales. C’est pourquoi, il faudrait le refondre en s’attaquant aux formations et aux métiers. Parallèlement, le Gouvernement reste toujours incapable de définir sa conception de la solidarité, son projet de société et le sens qu’il entend donner au travail social, sauf à souligner la transmission des valeurs républicaines et l'importance de la cohésion sociale (discours ministériels lors de la remise du rapport Bourguignon le 02/09/15 dernier). On assiste au procès des professionnels, dont les pratiques seraient obsolètes, inadaptées...

Tous les salariés du secteur social et médico-social (public et privé) sont concernés.

Dans notre département depuis plusieurs mois les luttes se multiplient dans les boîtes avec différents mots d’ordre, tels que le maintien de l’emploi, l’amélioration des conditions de travail, les augmentations de salaires, la défense du service public….  Le 8 octobre 2015 dénonçons la régression et l’injustice sociale que veulent imposer le gouvernement et le patronat aux salarié-e-s et populations !

MANIFESTATION DEPARTEMENTALE A NANCY PLACE DOMBASLE RASSEMBLEMENT DES 14 H 30

Après la décision prise hier par la CGT de ne pas le signer, le projet de protocole portant sur les Parcours professionnels Carrières et Rémunérations (PPCR) des agents de la Fonction publique ne peut pas faire l’objet d’un accord majoritaire tel que prévu par la loi sur le dialogue social dans la Fonction publique, accord majoritaire qui constitue un acquis démocratique pour lequel la CGT a milité et auquel elle demeure très attachée.

A l’issue de la consultation des agents menée par les organisations de la CGT Fonction publique, celles-ci ont pris la décision de ne pas signer le protocole d’accord issue de la négociation portant sur les Parcours professionnels Carrières et Rémunérations (PPCR) des agents de la Fonction publique.

Alors que la Loi « Santé » passe en procédure accélérée au Sénat (fin septembre/début octobre), nos organisations réunies en intersyndicale font le même constat de sa dangerosité dans un contexte de réduction des dépenses publiques et sociales, de fermetures de lits, d’aggravation des conditions de travail dans le secteur sanitaire, social et médico-social, sur fond de graves problèmes d’accès aux soins dans le pays.

Le projet de Loi « Santé » de Mme TOURAINE s’inscrit dans le cadre du pacte de responsabilité qui organise l’austérité budgétaire. Les conséquences de ces mesures sont incompatibles avec les besoins de la population. Par ailleurs, ce projet s’attaque à la sécurité sociale et à la place centrale de l’hôpital public.

Un récent article de presse du 8 septembre 2015 intitulé « Contention la dérive sécuritaire » et qui concerne les services de psychiatrie a été mis en ligne sur le site de Libération. http://www.liberation.fr/politiques/2015/09/08/contention-la-derive-securitaire_1378418

Un collectif de psychiatres y lance un appel contre la pratique qui consiste à attacher certains patients dans les services. Ces spécialistes expliquent qu’ils vont interpeller leur profession.

D’autres psychiatres dénoncent " les petites économies traquées partout par l’hôpital qui vont occasionner des grands drames chez nous...".

Les instances dirigeantes de l’Hôpital MARCHANT viennent de décider la fermeture du Centre de Postcure de la rue MAIGNAN. La Cour régionale des comptes a décidé que cette structure coûte trop cher en regard du nombre de patients pris en charge …

Le CPC est un dispositif qui permet un suivi médical, psychologique, éducatif et social vi-sant la réinsertion et le retour à l’autonomie. Le CH MARCHANT accueille des personnes lour-dement touchées par de sévères pathologies qui, de plus, sont rendues fragiles socialement par leur maladie. C’est un outil de soin de proximité qui a fait ses preuves depuis 1990…

Les Fédérations syndicales CGT, FO et SUD se sont réunies le 28 avril. Elles considèrent que, malgré le boycott des médias, la grève interprofessionnelle du 9 avril, réunissant près de 300 000 manifestants, pour le retrait du Pacte de responsabilité, de la loi Macron et du projet de loi Santé, a été un succès et constitue un point d’appui pour renforcer la confiance dans la nécessité de poursuivre la bagarre contre l’austérité.

Paris, le 26 mai 2015

Monsieur François HOLLANDE Président de la République Palais de l'Elysée 55 rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris

Monsieur le Président,

De manière exceptionnelle, les organisations syndicales de la Fonction Publique (CGT – FSU – FO – SOLIDAIRES - FAFP) ont décidé unitairement de s’adresser à vous.

Les organisations syndicales siégeant au CSFPH (CGT – FO – UNSA – SUD) dénoncent l’absence de dialogue social au niveau de la fonction Publique Hospitalière, depuis plusieurs mois sur plusieurs dossiers importants, ainsi qu’aucune programmation de réunions spécifiques permettant de les aborder et de trouver la solution négociée et partagée.

Nous nous sommes opposés le 11 septembre 2014 à ce que le projet de loi Santé (devenu depuis, projet de loi de modernisation de la Santé) n’ait fait l’objet que d’une présentation partielle devant le CSFPH (seulement 4 articles soumis à son avis). Entre autres, ce projet de loi, non seulement, rend obligatoire l’adhésion pour tous les hôpitaux à un groupement hospitalier de territoire (GHT), mais il prévoit aussi l’assouplissement du droit des groupements de coopération sanitaire (GCS), pour en faciliter la constitution et le fonctionnement, afin d'accompagner la création des GHT, auxquels pourront être associés des établissements privés. Elle prévoit aussi la mise à disposition de plein droit de fonctionnaires aux GCS.

Le 14 avril 2015, l’Assemblée Nationale adoptait en 1ère lecture le projet de loi Santé.

En dépit de quelques amendements déposés par les parlementaires et de la pollution médiatique autour de la généralisation du tiers-payant combattu par de nombreux médecins, il faut retenir que l’esprit de la loi est bien de faire des économies en réduisant les dépenses de santé.

Cette loi aggrave même la loi HPST, tant combattue par la CGT, et prévoit notamment : 

Pour se conformer à la politique néolibérale européenne, et accélérer le «pacte de responsabilité» (qui fait suite au « pacte national de la croissance, la compétitivité et l’emploi »…), la Ministre de la Santé a annoncé un plan d’économies des dépenses Hospitalières de 3 milliards d’euros d’ici à 2017. Pour lutter contre la loi santé et ses conséquences, organisons partout des initiatives communes de mobilisations et de grèves pendant les débats parlementaires, avant et après le 1^er mai !

Il faut répondre aux problèmes de santé d’aujourd’hui

Si les maladies infectieuses ont diminué en France comme dans le monde grâce aux progrès des sciences médicales, les maladies chroniques ne cessent d’augmenter.

La France dispose d’un bon indicateur pour prendre la mesure de l’épidémie de maladies chroniques, celle-ci est fournie par les statistiques des affections de longue durée (ALD) du régime général de l’Assurance Maladie qui couvre 90 % de la population française. En 2009, les principales ALD concernent les affections cardio-vasculaires (3,3 millions), les cancers (1,8 million), le diabète (1,8 million) et les affections psychiatriques de longue durée (1 million), soit 73 % de la totalité. L’évolution démographique ne peut expliquer cette situation. En effet, si la population du régime général a progressé de 21 % entre 1990 et 2008, les affections cardio-vasculaires et cancers ont augmenté quatre fois plus vite, et pour le diabète, cinq fois plus pour la même période.

A l’appel des organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires, plus de 300.000 salariés, actifs, jeunes et retraités, privés d’emploi, se sont réunis dans les 86 rassemblements et manifestations en Province et à la manifestation nationale à Paris. Plus de 120.000 manifestants ont convergé vers la capitale, informés tout au long de la journée des initiatives réussies, comme par exemple à Marseille 45.000, Bordeaux 10.000, Nancy et Nîmes 5000, Digne 1000.

Marisol TOURAINE Ministre des Affaires sociales et de la santé  14 avenue Duquesne 75350 PARIS 07 SP  A l’attention de Madame FRANIER Marianne D.G.O.S. Objet : Préavis de Grève. Montreuil, le 30 mars 2015  Madame la Ministre,  Les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires appellent l’ensemble des salarié-e-s du public et du privé, à une journée de grève interprofessionnelle et à manifester le 9 avril 2015.  En cohérence avec la déclaration unitaire des organisations de la Fonction publique (CGT, FO, FSU, Solidaires, FAFP), la fédération CGT de la Santé et action sociale appelle à une journée d’action de grève et de manifestations.

Dans un contexte de crise sociale et d’inquiétudes fortes dans la société notamment dans les domaines de l’emploi, des salaires, de la protection sociale et de l’avenir des services publics, les agents de la Fonction publique sont des éléments décisifs pour renforcer les solidarités, développer la cohésion sociale et réduire les inégalités. Ses agents en sont des acteurs essentiels. 

Réunies le 3 mars 2015, les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires et FA-FP rappellent leur attachement aux valeurs de la République, liberté, égalité, fraternité et laïcité portées par le statut général des fonctionnaires. 

Elles affirment que les politiques d’austérité poursuivies par les différents gouvernements ont des conséquences désastreuses pour la Fonction publique, les agents et les usagers.

Depuis 2013, plusieurs auxiliaires de puériculture de la Fonction Publique Hospitalière se sont vues refuser leur classement en catégorie active (permettant un départ en retraite anticipé pour reconnaissance des pénibilités liées au métier) au prétexte qu’elles n’exercent pas leur fonction « en contact direct et permanent avec des malades » au moment de faire valoir leurs droits. Cette situation, née d’une interprétation des textes réglementaires par la Caisse Nationale de Retraite des Administrations et des Collectivités Locales était simplement scandaleuse. UNE PREMIÈRE AVANCÉE…

Combattre et réduire le chômage, permettre la création d’emplois en changeant de politique économique, préserver les droits et tous les régimes sociaux, garantir et promouvoir le service public, augmenter les salaires (secteurs public et privé), les retraites, les pensions et les minimas sociaux, constituent des priorités sociales, de surcroît en période de crise.

Réunies le 17 février 2015, les organisations syndicales CGT, FO et Solidaires affirment leur détermination pour faire aboutir ces revendications et lutter contre l’austérité et ses impacts destructeurs tant socialement, économiquement que démocratiquement.

Les organisations syndicales françaises s’unissent et se joignent au mouvement citoyen et républicain pour exprimer leur émotion et leur indignation après l’attentat terroriste perpétré contre le journal Charlie Hebdo et face à tous les actes de violences et d’intolérance.

La Démocratie, la République, la Paix, les Libertés de pensée et d’expression sont des biens communs que nous sommes décidés à défendre face à tous les totalitarismes, aux discours haineux et aux tentatives de division et de stigmatisation.  

La CGT horrifiée par l’attentat meurtrier à Charlie-Hebdo Après l’odieux attentat ayant fait plus d’une dizaine de morts et plusieurs blessés au siège de l’hebdomadaire Charlie-Hebdo, ce mercredi matin, la direction confédérale de la CGT, son journal La Nouvelle Vie Ouvrière, et le SNJ-CGT, horrifiés, tiennent à assurer l’ensemble des journalistes et des personnels du journal, ainsi que tous leurs proches, de leur totale solidarité.

Profondément choquée par cet acte odieux, attristée et en colère, la CGT rappelle et salue le courage de ces hommes et ces femmes qui chaque jour, chaque semaine, malgré les intimidations et les menaces, défendent la liberté de pensée et la liberté d’expression dans notre pays. Elle souhaite que les assassins soient au plus vite arrêtés et jugés, et que toute la lumière soit faite sur leurs motivations, ainsi que sur les conditions ayant permis que le siège de l’hebdomadaire ait pu être ainsi attaqué.

La CGT appelle à un rassemblement, ce mercredi 7 janvier, à 17 heures, Place de la République, à Paris Montreuil, mercredi 7 janvier 2015

Le projet de Loi Macron, véritable accélérateur de casse sociale, soutenu sans surprise par le patron du Medef, nous conduit tout droit vers une généralisation du travail du dimanche et de nuit.

Vous allez être appelés à élire vos représentants au conseil d'administration de la CNRACL (caisse nationale de retraite des agents des collectivités locales) du 20 novembre au 4 decembre 2014.

Ce vote est independant des elections professionnelles qui vont avoir lieu le 4 decembre afin d'élire vos representants locaux

Vous avez ou allez recevoir prochainement dans vos boites aux lettres le cahier des professions de foi ainsi que votre bulletin de vote.

Ce vote peut se faire par correspondance, par internet ou directement sur site le 21/24 et 25 novembre (suite à la demande de la CGT, une note d'information sera transmise par la DRH pour vous en expliquer les modalités et le lieu où voter électroniquement)

LE 18 NOVEMBRE : TOUTES LES RAISONS DE MANIFESTER !

Il est nécessaire de garantir le pouvoir d’achat de tous les salariés et la prise en compte de mesures particulières pour les bas salaires.

Dans notre secteur de la santé et de l’action sociale, de nombreux salariés sont en prise avec de graves difficultés financières.

La Sécurité Sociale est composée de 3 branches : la branche famille, la branche retraite et la branche maladie. Elle est financée par les cotisations salariales et patronales.

C’est notre salaire socialisé, il nous appartient !

A l’origine, les recettes de la Sécurité Sociale permettaient de subvenir aux besoins des travailleurs en matière de santé, famille et retraite.

L’examen du projet de loi de finance de la Sécurité Sociale aura lieu du 13 au 18 octobre et aura des conséquences graves pour les salariés.

Après avoir utilisé tous les moyens pour contraindre les infirmier-e-s à adhérer, commandé des sondages d’opinion totalement biaisés pour tenter de justifier un semblant de légitimité, l’Ordre National Infirmier, s’attaque désormais aux salarié-e-s des autres catégories professionnelles !!!

Le 26 juin, s’unir pour agir, lutter pour gagner

Le Président Hollande entend poursuivre ses réformes désastreuses pour le développement du pays et le vivre ensemble, malgré un désaveu cinglant lors des élections municipales et européennes.

Le gouvernement n’entend pas changer de cap : il s’entête dans ses politiques d’austérité en octroyant toujours plus de cadeaux aux grandes entreprises, sans contrepartie en matière d’emploi, d’augmentation des salaires, de lutte contre la précarité et le chômage, et en réduisant toujours plus les moyens de l’action publique.

Ces choix sont injustes. Ils sont mauvais socialement et inefficaces économiquement.

Les organisations syndicales CFDT - CFTC – CGT – FA-FP - FSU - SOLIDAIRES - UNSA, dénoncent une nouvelle fois, l'absence de négociations salariales dans la Fonction publique et la dégradation de la qualité de l'emploi public.

Partout dans le monde, la prochaine Journée internationale du travail sera l’occasion de voir descendre dans les rues des milliers de salariés, de privés d’emploi et de retraités afin d’exiger la mise en oeuvre de véritables politiques de progrès social. En France, où la courbe du chômage ne cesse de grimper alors que celle du pouvoir d’achat continue de chuter, tous les salariés sont appelés à se rassembler pour faire de ce 1er Mai 2014 un véritable événement au coeur d’un printemps social.

Saisissons-nous de cette journée pour exiger, ensemble, ce que, chaque jour, chacun et chacune d’entre nous n’a pas toujours la force de revendiquer.

Ne votez pas aux élections de l’ordre infirmier !

Renouvellement des conseils départementaux de l’ordre infirmier le 3 avril 2014.

Seul-es ceux qui ont adhéré sont sollicité-es.

L’intersyndicale CGT - CFDT - FO - CFTC - SUD - UNSA s’oppose, depuis 8 ans aux ordres professionnels, nous vous appelons à un acte civique d’ abstention massive !

Le gouvernement a une nouvelle fois déclaré la prévention des risques psychosociaux comme une préoccupation majeure en déclinant un énième protocole d’accord signé entre les employeurs et certains syndicats (dont la CGT) Au-delà de l’effet de mode (évoqué par certains Directeurs sans scrupule), l’enjeu est majeur puisqu’une récente étude du cabinet TECHNOLOGIA du 22 janvier 2014 estime que plus de 3 millions d’actifs ont un risque élevé de faire un burn-out.

Pour la CGT, le lien entre le travail et la dégradation de la santé des salariés est clairement établi mais ce n’est pas si simple de faire reconnaître un burn-out comme un accident de service (accident de travail) ou une maladie professionnelle :

En dépit de la mobilisation sans faille des organisations syndicales contre l’ordre infirmier, la position du gouvernement reste très ambiguë ! L’absence de texte de loi supprimant les ordres professionnels ou rendant l’adhésion facultative n’est toujours pas à l’ordre du jour dans le calendrier gouvernemental.

Plusieurs décisions de justice ont pourtant été rendues et ont confirmé les points suivants : - les professionnels paramédicaux ne sont pas obligés de s’inscrire volontairement à l’ordre, - il n’est pas illégal d’exercer sans s’inscrire au tableau de l’ordre Un mail du Ministère du 16 janvier 2014 adressé aux agences régionales de santé vient cependant de préciser certains points :

La Ministre de la Fonction Publique a annoncé le 16 janvier dernier que le point d’indice, servant de base de calcul à nos rémunérations, serait à nouveau gelé en 2014. La CGT dénonce la perte de pouvoir d’achat des fonctionnaires lié notamment au gel du point depuis 2010.

A cela s’ajoutent les déclarations de certains membres du gouvernement et de la majorité parlementaire autour d’un possible gel des carrières des fonctionnaires…. Devant cette cacophonie, les organisations réunies en intersyndicale ont écrit au 1er Ministre pour demander une clarification et une position officielle. Le 1er Ministre vient de répondre aux organisations syndicales qu’il ne saurait être question de bloquer l’avancement des carrières des agents publics.

Les Organisations Syndicales CFDT, CGT et CGT-FO dénoncent avec fermeté le chantage odieux et la prise en otage des étudiants-es infirmiers-ières ! Se sentant « maltraitée » par rapport aux hôpitaux, la Fédération de l’Hospitalisation Privée a décidé de suspendre l’accueil des étudiants-es infirmiers-ières.

Plus de 30 000 stagiaires pris en otages par cette Organisation Patronale. « Cette route barrée » faite aux étudiants-es est la remise en cause de la carrière de milliers de futurs-es salariés-es. Pour ceux-ci, l’enjeu est de taille. Déjà dans les entreprises, leurs stages ne sont plus planifiés. Les élèves se posent donc aujourd’hui, la question de la validation de leur année.

Les décrets et arrêtés d'application des nouvelles grilles indiciaires pour la catégorie C (mais aussi en partie la B), dans la fonction publique hospitalière, sont enfin parus au Journal Officiel le 31 janvier 2014. A retrouver en cliquant sur les liens ci-dessous : http://www.sante.cgt.fr/IMG/pdf/Decret_no2014-72_du_29_janvier_2014_echelles_C_et_indices_B.pdf http://www.cgteduccreteil.org/IMG/pdf/decret_2014-77.pdf

La Bretagne souffre du fait de sa situation économique et sociale. Les pans industriels de la région sont mis à mal par des restructurations et des suppressions massives d’emplois dans tous les secteurs.

Les organisations syndicales participent, à leur niveau, à freiner les conséquences de cette catastrophe.

Ce gâchis engendre colère, désespoir et mécontentement. Cette détresse monte partout en France et doit alerter les pouvoirs publics sur la réalité sociale du pays.

Pour les organisations syndicales, c'est le signal d’alarme d’une situation qui ne peut plus durer, et dans laquelle, le gouvernement devrait avoir un rôle majeur pour redonner confiance, par des actes, aux salariés licenciés et ceux qui ont un emploi.

Les grilles présentées le 20 septembre dernier étaient sensées améliorer quelque peu le quotidien des agents de la catégorie C. Cependant, elles méritent d’être regardées avec un peu plus d’attention que le simple regard approbateur que ne leur réservent quelques syndicats prompts à accepter sans réserve ces propositions.

La Ministre de la Fonction publique a présenté le 13 septembre le projet de réforme de retraites aux organisations syndicales. Dans la continuité des réformes précédentes, il privilégie l’allongement de la durée de cotisation, avec des dispositions orientées contre les salarié-es et les retraité-es. Les conséquences seront particulièrement néfastes pour les jeunes et les femmes. Ce projet s’inscrit dans la politique libérale européenne de régression sociale, alors que le patronat continue de recevoir des cadeaux monstrueux.

Seuls des thèmes spécifiques à la Fonction publique ont été abordés par la Ministre. La CGT a demandé l’ouverture immédiate de négociations sur des sujets majeurs pour les agent-es de la Fonction publique :

Du 2 septembre au 11 octobre 2013, près de 650 000 adhérents à la Mutuelle Nationale des Hospitaliers sont appelés à élire leurs délégués aux assemblées générales de la MNH (en santé et en prévoyance) pour les 6 prochaines années.

Ce sont eux qui représenteront les adhérents dans les actes et décisions qui jalonnent la vie de la mutuelle tant sur le plan national que dans le bureau départemental qu'ils animent. De leur engagement dépend la qualité du service rendu et surtout le niveau d'investissement dans la défense des intérêts des adhérents.

Les candidats soutenus par la CGT sont :

Le 23 juillet 2013, le ministère de la Fonction publique a réuni les organisations syndicales, après leur rejet unanime des conditions de reclassement sur la nouvelle grille temporaire proposée par le ministère.

L’austérité salariale est une impasse !

Petit rappel historique des négociations　:

Nous venons de prendre connaissance du rapport de la Commission pour l’avenir des retraites. Nous en connaissions les grandes lignes, puisqu’elles nous avaient été annoncées par la Présidente Yannick Moreau.

Si de vraies questions y sont abordées, les principales pistes évoquées dans le rapport n’augurent rien de bon et nous regrettons qu’aucune des propositions portées par la CGT n’ait été reprise.

L’allongement de la durée requise pour le taux plein, la désindexation ne sont en rien des solutions pour pérenniser et améliorer le système de retraite français dans l’intérêt des actifs et des retraités, toutes générations confondues.

Une interview croisée de François Chérèque et Bernard Thibault. Pour les leaders de la CFDT et de la CGT, le maintien d'Eric Woerth à son poste empêche un débat de fond sur les retraites. Ils dénoncent d'une même voix le « climat de division » entretenu selon eux par l'exécutif et demandent au Medef de « condamner clairement l'antisyndicalisme actuel ».

Après 7 mois de pseudo-négociations pendant lesquelles les différentes organisations syndicales ont plusieurs fois quitter la table, le gouvernement nous soumet un projet de protocole inacceptable !