Cela est grave car cet article est contraire à l’éthique de nos professions. Mettre en parallèle 2 unités de soins, décriant avec force les pratiques de l’une et de l’autre en ayant volontairement omis de dire la vérité sur ce qui s’est passé, démontre la volonté de casser des syndiqués CGT qui s’expriment. Comment une direction est-elle amenée à désavouer une situation (BAC, entraves…) dans un article, alors que tout a été validé par elle ?
A l’image des discours populistes de bas étage, la direction sème volontairement le trouble pour monter les unités les unes contre les autres par des affirmations calomnieuses.
La direction a reconnu le droit d’alerte dans 1 unité, mais le directoire s’insurge contre ce droit.
Salir les personnes à travers ce mensuel ne grandit pas son comité éditorial, ni le comité d’éthique ni les personnes bien pensantes de notre établissement.
Les pressions et menaces avilissent leurs auteurs.