Pour la CGT, le CPN est loin d’être en manque de trésorerie. Par exemple, le patrimoine immobilier comme les logements de fonction de la rue Charles Gide à LAXOU pourraient être revendus (ou les bâtiments Hardeval dans quelques années).
Autre piste : le bionettoyage qui coûte au CPN la bagatelle de 3 millions d’euros par an. La CGT milite depuis plusieurs années afin d’obtenir un retour des ASH intégrés dans la fonction publique hospitalière avec des économies substantielles à la clé !
En outre, est-il normal d’avoir investi 1 million d’euros en imprévu pour stabiliser le terrain du Prisme avant de débuter les travaux du bâtiment NBH ? Les organisations syndicales n’ont toujours pas compris pourquoi la Direction avait accepté cette dépense sans intenter d’action en justice contre l’architecte et le maître d’œuvre extérieur.
Tout est à relativiser et les efforts doivent être partagés.
En dernier recours, reste l’intervention des personnels aux côtés de la CGT pour exiger de l’Agence Régionale de Santé des moyens pour accomplir dignement nos missions.
Le 21 novembre 2013, la CGT était devant l’ARS pour exiger une autre politique en matière de santé.