Dans ce dernier, un facteur aggravant les risques encourus par les professionnels est décrit : il s'agit des fréquents INR (injections neuroleptiques retard) pour des patients qui ne sont pas en programme de soins sur l'Unité A engendrant en plus du travail supplémentaire et majorant le risque d'agressions.
Nous vous demandons de revoir cette problématique avec les médecins et réitérons notre demande d'augmentation des effectifs pour cette unité.
En vous souhaitant une bonne journée et un agréable weekend.
Bien cordialement
Les représentants des personnels au CHSCT