Groupe 1 : accès aux soins
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Augmenter les horaires d’ouvertures des CMP,
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Développer les téléconsultations,
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Intégrer les IPA, les case managers et les médiateurs de santé,
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Coopérer davantage avec le privé et le libéral, …
Groupe 2 : situations inadéquates
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Analyser les DMS de plus de 45 jours,
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Développer le partenariat avec le médico-social,
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Développer les IPA (encore), …
Groupe 3 : accompagnements sociaux et médico-sociaux
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Réaliser une cartographie avec ESPOIR 54 de toute l’offre territoriale,
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Orienter vers le médico-social les patients hospitalisés au long cours,
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Développer l’insertion par l’emploi, …
Groupe 4 : accès aux soins somatiques
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Travailler sur une filière avec le CHRU de NANCY,
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Protocoliser avec le public et le privé pour les examens,
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Renforcer les liens avec les CPTS,
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Créer 6 à 8 lits de médecine au CPN (mais très controversé au sein de la communauté médicale donc peu de chances d’aboutir), …
Groupe 5 : situations de crise
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Développer les partenariats avec les maisons de santé,
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Créer des places d’HJ au sein des unités d’hospitalisation,
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Développer les VAD, …
Alors, pour l’instant, il ne s’agit certes que de pistes de travail et le document définitif ne sera présenté qu’aux instances de l’automne. Nous y reviendrons à ce moment.
Pourtant, on peut déjà dégager quelques pistes qui mettent la puce à l’oreille et laisseraient à penser que la seule vision du futur projet d’établissement du CPN serait de renvoyer massivement hors de nos murs !?
A l’heure où le CPN souffre depuis des années d’un manque crucial de lits, que l’on a détruit des services complets, que le virage vers l’ambulatoire n’a pas tenu ses promesses, les recettes restent les mêmes sans aucune remise en cause : développement de l’ambulatoire, mise en œuvre de prises en charge « innovantes » et renvoi vers les partenaires extérieurs (libéraux et structures médico-sociales) déjà débordés.