Aucune modification des conditions de travail ne peut justifier ce choix unilatéral.
De nombreuses motions des personnels sont remontées contre ce dispositif.
En amont du Conseil Supérieur de la Fonction Publique Hospitalière du 26 juin 2018, la CGT, avec toutes les organisations syndicales, a demandé le retrait de ce dispositif, et réclamé la reconnaissance des services actifs pour toutes les professions qui en ont été arbitrairement privées.
Devant le maintien du texte en l’État, la CGT a décidé de ne pas siéger au CSFPH ce matin.
Le quorum n’étant pas atteint celui-ci sera convoqué ultérieurement, ce qui laisse plus de temps aux personnel.le.s de montrer son mécontentement.
Montreuil, le 26 juin 2018