Commission des postes aménagés du 6 mars 2018 Déclaration CGT

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En aucun cas, la commission n’est là pour décider de problématiques individuelles. De même, toutes dérives pour tenter de d’associer les représentants syndicaux à des mises en retraite forcées sont à proscrire et seraient farouchement combattues par notre organisation syndicale.

Par ailleurs, la CGT souhaite d’emblée réaffirmer ses propositions :

1) Formaliser clairement au CPN les procédures de maintien dans l’emploi en clarifiant les missions de chacun et l’articulation des acteurs dans la gestion des restrictions d’aptitude, des aménagements de poste et des reclassements pour raison de santé,
2) Former les différents acteurs y compris les représentants des personnels au CHSCT,
3) Travailler en lien avec l’ergonome,
4) Identifier les services où à l’avenir, il serait possible d’envisager des postes aménagés (cafétéria,…),
5) Renforcer les partenariats avec les acteurs comme le FIPH.FP et le SAMETH dans la prise en charge du handicap,
6) Ouvrir un véritable débat autour de la pénibilité et les fins de carrière (en envisageant par exemple des entretiens individuels dès 50 ou 55 ans pour voir les aménagements possibles en termes de planning (permanent de nuit pour ceux qui le souhaitent) ou de mobilité vers des postes moins éprouvants,…)
7) Réaliser une cartographie des métiers et des services exposés aux facteurs de pénibilité.

Dans ce cadre là, la CGT prendra pleinement à place dans cette commission dans l’intérêt des professionnels de l’établissement.

         Laxou, le 6 mars 2018