- la fermeture de 15 lits et d’un CMP de centre-ville dans le cadre de la réorganisation du Pôle du Grand Nancy,
- l’annonce de la fermeture de 7 à 10 lits supplémentaire en 2019 et peut-être d’un CMP dans le cadre de la réorganisation du Pôle de Pont-à-Mousson et Toul,
- des CMP débordés à qui on demande d’absorber la fermeture du CMP Médreville (en supprimant au passage hôpitaux de jour et activités remplacés par des bureaux de consultation),
- des surnuméraires réguliers dans les unités du NBH qui doivent faire face à des réarmements de 2 à 4 lits par unité,
- des Urgences Psychiatriques saturées et ne pouvant faire face que très difficilement à l’afflux de patients à hospitaliser faute de lits disponibles sur le CPN,
- l’infanto-juvénile qui travaille dans des conditions d’accueil et de sécurité déplorables dans certaines antennes (Vézelise, St Nicolas de Port, Toul Adultes, …)
- logiciel DPI CARIATIDES qui ne fonctionne pas ou fonctionne mal,
- protocoles et autres procédures qui se multiplient et sont chronophages,
- augmentation du temps passé à gérer les incidents avec les taxis et ambulances depuis la dernière réforme d’octobre, …
Que fait-elle pour y répondre ?
Elle nous annonce une réduction de notre budget pour 2019 et nous renvoie vers le Projet Territorial de Santé Mentale (PTSM) qui devrait sortir au cours du 1er trimestre 2019 !
Or, aucune organisation syndicale n’y est associée !
Qu’y a-t-il à cacher aux professionnels de terrain que nous sommes ?
Qui est le mieux à même de cerner les difficultés du terrain et les besoins réels de la population ?
La CGT du CPN demande à avoir connaissance des travaux PTSM en cours et à ce que la CGT y soit pleinement associée.
Pour une psychiatrie humaniste et solidaire !