PROJET SOCIAL BILAN D’ETAPE SUR LES NEGOCIATIONS EN COURS

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– mettre en place un management plus participatif et améliorer la conduite de projets en associant les professionnels,
– réinstaurer des lieux de concertation au sein des services (conseils de service, conseils de pôle, réunions d’expression, …),
– accorder aux représentants des personnels siégeant à la CSIRMT du temps de préparation et d’échange avec leurs collègues pour rendre cette instance plus efficace,
– remettre au goût du jour les réunions trimestrielles syndicats / Direction pour recentrer les CTE et CHSCT sur leurs principales missions,
– simplifier l’accès des agents aux informations sur les vacances de postes et concours,
– afficher plus de transparence dans la sélection des candidats à un poste,
– remettre en place et pérenniser la journée d’accueil des nouveaux professionnels,
– maintenir le dispositif de titularisation des contractuels dans l’idée de résorber l’emploi précaire,
– optimiser les remplacements dans le cadre de la gestion de l’absentéisme de courte durée,
– maintenir le niveau d’engagement de la Direction au travers du plan de formation tout en faisant cohabiter équitablement le dispositif de Développement Professionnel Continu et les demandes de formation individuelles,
– améliorer les horaires d’ouverture de la Crèche pour coller au mieux aux attentes des personnels soignants en travail posté,
– informer les agents sur les dispositifs (trop peu utilisés) proposés par le CGOS et la MNH,
– prendre en charge au niveau de la Direction les frais postaux lors de l’envoi annuel du dossier d’ouverture des droits CGOS,
– communiquer davantage sur les missions de l’assistante sociale du personnel,
– …
 
Les points sur lesquels la CGT se montre plus réservée :
– le traitement des postes aménagés
– La prévention des risques psychosociaux
 
Sur les postes aménagés, le groupe de travail peine à obtenir une cartographie des postes aménagés au CPN (personnes affectées à des postes prenant en compte leurs restrictions médicales)
La Direction met en avant qu’elle ne souhaite pas stigmatiser les professionnels.
Pour la CGT, il s’agit au contraire d’un pré-requis indispensable pour avancer.
Concernant la prévention des risques psychosociaux, la CGT déplore l’absence de ligne directrice.
Bâtir une politique de prévention ne peut se faire que sur la base d’un diagnostic partagé entre Direction et organisations syndicales.
La CGT revendique la réaffirmation du rôle du CHSCT, la mise en place d’une cellule d’alerte et de prévention des situations de souffrance au travail ainsi qu’un réel questionnement sur l’organisation du travail.