Mais devant ce constat…
– dégradation des conditions de travail
– augmentation de la violence
– passivité de certains praticiens hospitaliers en charge de responsabilité de pôle
– multiplication des CHSCT sur la violence
– non respect de la procédure du droit d’alerte et de retrait
– déni de la Direction face aux actions pour l’alerter des dangers graves et imminents dont les salariés et les usagers sont victimes
– manque récurant de personnel
– remplacement des personnels absents par des personnels à diplômes non équivalents et non reconnus pour cette responsabilité (mise en danger de l’agent et de l’usager)
… nous nous interrogeons sur la volonté et ou la capacité de notre établissement à prendre la mesure des difficultés que les agents et les usagers rencontrent dans leur quotidien.
Pour toutes ces raisons, la CGT du CPN, entend faire entendre sa voix et celle des agents à la construction du mieux vivre au travail. Pour cela nous disposons de textes législatifs du droit du travail et de la coopération de l’inspecteur du travail quand les règles ne sont pas respectées. Nous attendons aussi que le Service de Santé au Travail se prononce et intervienne
En lien avec ce courrier nous vous faisons parvenir nos conclusions et propositions.
http://www.lacgtducpn.com/index.asp?menu=&sousmenu=&page=2&detail_article=1&le_tri_article=&la_recherche_s=&la_recherche_g=22%20mars%202011
Je vous saurai grée de bien vouloir valider officiellement cette rencontre par écrit, je vous en remercie d’avance et vous prie, Monsieur le Directeur, d’agréer mes salutations respectueuses.
Le Secrétaire : FERRETTI Luc